Les résultats de nymphoplastie Page 1 2
La Restauration vulvo-vaginale non chirurgicale Nouvelle stratégie non hormonale dans la prise en charge de l’atrophie vulvo-vaginale et du dysfonctionnement sexuel : L’acide hyaluronique (Desirial) et le laser CO2 fractionné, ablatif (DEKA : Mona Lisa Touch) La sécheresse vaginale peut affecter l’ensemble des femmes à une période de leur vie, surtout à la ménopause lors de l’arrêt de la production d’oestrogène par les ovaires. L’atrophie vulvo-vaginale qui en résulte est également responsable de douleurs au moment des rapports, d’irritation vaginale avec démangeaisons et brulures, de béance vaginale et d’incontinence urinaire d’effort. Pendant la ménopause, les fibroblastes actifs de la muqueuse . . .
Autrefois les petites lèvres étaient nommées une nymphe par comparaison avec les nymphes des mythologiques antiques qui dirigeaient le jahissement des eaux des sources, ainsi on a longtemps attribué aux petites lèvres l’usage de diriger le jet urinaire. Décrit pour la première fois en 1866 avant même l’ère de l’anesthésie par JOZAN, la nymphoplastie était réservée il y a encore quelques années à des cas pathologiques. L’hypertrophie des petites lèvres n’est pas une malformation congénitale mais une particularité du développement, elle ne s’observe jamais chez les petites filles, mais apparait à la puberté. De fait des signes psychiques sont à . . .
Copyright © 2015 - Agence communication Karma Santé